Union populaire

Les caravanes de l’Union populaire sillonnent le pays pour redonner espoir et faire gagner Mélenchon

Les caravanes de l’Union populaire se déploient partout en France à l’approche du premier tour de l’élection présidentielle. Emplis d’une motivation sans failles, des militants insoumis se sont lancés dans six caravanes différentes pour sillonner 77 départements partout dans l’Hexagone. L’objectif est clair : convaincre les hésitants et les abstentionnistes, qu’un autre monde est possible avec le candidat de l’Union populaire. Notre article.

77 étapes partout en France pour les caravanes de l’Union populaire

Les caravanes de l’Union populaire sont de retour sur les routes de l’Hexagone, après avoir toqué à 26 863 portes de l’été 2021 aux fêtes de fin d’années. Le 26 mars dernier, et ce jusqu’au 7 avril 2022 juste avant le premier tour, six caravanes de l’Union populaire sont partis parcourir la France. L’objectif ? Se rendre dans les quartiers populaires de 77 départements métropolitains afin de convaincre les abstentionnistes et les résignés qu’un autre monde est possible.

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D’Amiens à Strasbourg, de Dreux à Belfort, de Toulouse à Marseille, c’est presque tout le territoire de l’Hexagone que vont couvrir les insoumis à l’approche de l’échéance présidentielle. Sans relâche, les militants de l’Union populaire vont essayer de convaincre un maximum de citoyens de voter pour Jean-Luc Mélenchon, un candidat très proche du second tour, porteur d’un programme plébiscité par une très grande partie des Français, seule alternative face au duel Macron-Le Pen au second tour dont 80% des Français ne veulent pas.

« Vaincre la résignation, construire l’Union populaire »

Durant plusieurs mois, les caravanes de l’Union populaire se sont fixées trois objectifs : construire l’Union Populaire en suscitant l’adhésion aux mesures de notre programme, l’Avenir en Commun ; faire de l’information sur les droits sociaux et lutter contre le non-recours aux droits ; aider à l’inscription des 11 millions de Français non inscrits ou mal inscrits sur les listes électorales. 

À 10 jours du premier tour, les caravanes repartent pour convaincre les abstentionnistes et les résignés que chaque voix compte si l’on veut dès le 24 avril : le SMIC à 1400 euros net/mois, la retraite à 60 ans et à taux plein, le blocage des prix des produits de première nécessité et du carburant, l’allocation d’autonomie de 1063 euros pour nos jeunes, le partage des richesses, la planification écologique créatrice d’emplois et le passage à la 6e République avec le RIC et le référendum révocatoire pour que le peuple décide vraiment.

Dans la presse, l’initiative intéresse. Et pour cause : c’est la seule campagne de conviction qui se tourne depuis dès mois vers les abstentionnistes et les classes les plus défavorisées. On retrouve ainsi certains articles sur les caravanes de Dreux, de Morlaix, ou encore de Narbonne.

« Ici notre préoccupation c’est le pouvoir d’achat, Jean-Luc Mélenchon propose de bloquer les prix »

Les retours de terrains sont très positifs, en voici quelques uns : « Ici, notre préoccupation, c’est le pouvoir d’achat, le blocage des prix des produits de première nécessité, c’est vraiment urgent, c’est pour ça qu’on va voter pour Jean-Luc Mélenchon », « Ah bon ? Le vote a lieu dans deux semaines ? Ah oui, merci de me le rappeler, je vais y aller et le rappeler aussi à tous mes voisins », « J’ai vu que Jean-Luc Mélenchon proposait de bloquer les prix : oui, c’est nécessaire. Tout coûte trop cher. » 

Les insoumis sont en campagne depuis 16 mois. Une campagne de terrain, avec de nombreuses réunions publiques partout en France, des porte-à-porte, de nombreux tractages devant les universités ou sur les marchés, et des caravanes sillonnant quasiment toute la France. Jean-Luc Mélenchon n’a jamais été aussi proche du second tour. Son accession y est possible, de même que sa victoire face à Emmanuel Macron. L’espoir Mélenchon est là. Il reste 12 jours avant le 1er tour. La bifurcation écologique, le partage des richesses, la 6e République : tout ça est possible avec l’Union populaire.

Les 10 et 24 avril, on dégage Macron.