84% des sympathisants RN sont pour la hausse du SMIC, Marine Le Pen vote contre. 90% des sympathisants RN sont pour indexer les salaires sur l’inflation, Marine Le Pen vote contre. 87% des sympathisants RN sont pour le rétablissement de l’ISF, Marine Le Pen vote contre. 83% des sympathisants RN sont pour la retraite à 60 ans, Marine Le Pen est contre. Et ainsi de suite. Le fossé entre les aspirations des électeurs RN et les votes des députés RN à l’Assemblée nationale mérite d’être souligné et martelé dans le débat public. Marine Le Pen arnaque ses électeurs, et ce, dans les grandes largeurs.
Pour lutter contre le RN, il est grand temps de faire sortir ses votes de l’enceinte de l’Assemblée nationale. Toujours lutter contre le RN sur les deux fronts : le racisme et le social. Depuis des années l’insoumission.fr documente l’explosion des groupuscules néonazis et leurs liens avec le RN. Et depuis des années l’insoumission.fr démasque la supercherie sociale que constitue Marine Le Pen, gratte le vernis social de son discours qui trompe une partie croissante des classes populaires. Entre les intérêts du travail et du capital, entre les petits et les gros, entre la France d’en bas et la France d’en haut, le RN a choisi son camp. Et ce n’est pas celui des travailleurs et des travailleuses. Marine Le Pen arnaque ses électeurs.
Comment combattre le RN ? Nos deux articles à plus de 2 millions de vues
Et démasquer la supercherie sociale, écologique, féministe, laïque et républicaine que constituent Marine Le Pen et le Rassemblement national (RN), ça cartonne. Notre article sur le sujet avait déjà enregistré plus de 800 000 vues. Un second article intitulé « Comment Marine Le Pen arnaque ses électeurs », démontrant le fossé entre les aspirations des électeurs RN et les votes du RN a quant a lui totalisé plus d’1 million 200 000 vues. Plus de 2 millions de vues cumulés pour ces deux articles utilisant le même angle d’attaque pour combattre le RN. Non seulement démasquer la supercherie sociale de l’extrême droite est une priorité politique, mais ça cartonne.
Par Pierre Joigneaux.