Le « Télégraphe » de l’Insoumission – Retrouvez les actions et propositions de la France insoumise de la semaine

France insoumise. Vous êtes noyés dans la surinformation mais vous souhaitez connaître les principales actions et propositions de LFI de la semaine ? Dans sa rubrique « Télégraphe » , l’Insoumission vous propose de revenir sur quelques-unes des actions, propositions et avancées concrètes obtenues cette semaine par la France insoumise, ses militants et ses représentants […]

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France insoumise. Vous êtes noyés dans la surinformation mais vous souhaitez connaître les principales actions et propositions de LFI de la semaine ? Dans sa rubrique « Télégraphe » , l’Insoumission vous propose de revenir sur quelques-unes des actions, propositions et avancées concrètes obtenues cette semaine par la France insoumise, ses militants et ses représentants élus, pour renverser l’ordre capitaliste et se diriger vers une autre société autour de nouveaux principes : collectivisme et entraide.  

Des marchés à l’Assemblée nationale, du terrain aux plateaux de télévision, de l’Institut La Boétie aux grandes mobilisations populaires, la France insoumise, ses militants et ses représentants se battent chaque jour pour faire advenir un autre monde.    

Malgré les assauts de la bourgeoisie, malgré la violence de l’extrême droite, la France insoumise est le seul mouvement politique dont l’ampleur, le courage, la profondeur et la diversité de l’action se déploie et se développe chaque jour, en période d’élection comme en dehors. Elle est le seul mouvement doté d’une stratégie – l’Union populaire – et d’un programme – l’Avenir en commun – comme colonne vertébrale de son action quotidienne.  

Immense succès de la mobilisation contre le racisme et l’extrême droite ce samedi 22 mars, discours de Jean-Luc Mélenchon à Brest, poursuite de la commission d’enquête du député LFI Paul Vannier sur les violences en établissements scolaires, avancées permises par LFI en matière de contrôle des géants de l’agrobusiness et de protection de l’environnement, effervescence intellectuelle de l’Institut La Boétie et classement sans suites des poursuites ayant causé le cyberharcèlement du député LFI Carlos Martens Bilongo, telles sont autant d’actions, de propositions et d’avancées concrètes que l’Insoumission vous propose de revoir dans ce nouveau « Le Télégraphe ». Notre article.

Mobilisation de la France insoumise contre le racisme et le fascisme aux côtés de plus de 600 organisations : succès total de la révolte populaire

Ce samedi 22 mars, la France insoumise, ses représentants élus et ses militants manifestaient partout en France aux côtés de plus de 600 organisations et des centaines de milliers de citoyens pour s’opposer au racisme et à l’extrême droite, ses idées et ses violences.

À Marseille avec Jean-Luc Mélenchon,Manuel Bompard et Sébastien Delogu, À Paris avec des dizaines de député·es de la France insoumise, À Lyon, à Bordeaux, au Puy-en Velay, à Grenoble, à Montpellier, à Tarbes, à Grenoble, à Rouen, Toulouse, Reims, Guéret, Tarbes ou Laon, plusieurs centaines de milliers de personnes se sont levées et ont défilé contre le racisme et les idées d’extrême droite. Elus et militants insoumis étaient présents en masse aux quatre coin du pays, comme les reportages de l’Insoumission l’ont montré tout au long de ce samedi 22 mars.

Enveloppant les cortèges, les drapeaux de la France insoumise y portaient l’espoir, l’ambition et le programme d’une révolte populaire contre l’extrême droite et pour une société de l’harmonie des êtres humains entre eux et avec la nature.

La journée du 22 mars a été un succès total. Elle a montré par le nombre et la détermination l’existence d’un bloc populaire qui se dresse contre l’extrême droite dans l’espoir d’un monde meilleur. Plus que jamais, l’avenir est antiraciste et antifasciste.

Pour aller plus loin : Racisme et violences policières : les propositions de LFI pour une société de l’harmonie des être humains

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https://twitter.com/JLMelenchon/status/1903492259942728037

Jean-Luc Mélenchon en meeting à Brest : près de deux heures de discours à retrouver en rediffusion !

Ce 19 mars, Jean-Luc Mélenchon a tenu un discours de près de deux heures à Brest. Aux côtés notamment du député de la France insoumise Pierre-Yves Cadalen, le leader insoumis y est intervenu dans le cadre d’un meeting contre le racisme et l’extrême droite. Devant une salle pleine à craquer, Jean-Luc Mélenchon y a abordé une multitude de sujets.

Il y rappelle son soutien aux travailleurs de Damen, ignorés par les pouvoirs publics, dans leur lutte pour le départ anticipé à la retraite. En 2011, il avait déjà participé à leur lutte victorieuse pour empêcher la fermeture de leur entreprise.  

Il y souligne également le rejet du système capitaliste par la jeunesse et les quartiers populaires, qui font du mouvement insoumis un recours politique. Il accuse les socialistes d’avoir trahi leurs électeurs en reniant leurs promesses sur la réforme des retraites et exige des excuses pour ceux qui ont voté pour eux avec l’étiquette du Nouveau Front Populaire.  

Sur le plan environnemental, il alerte sur la montée des eaux et l’urgence de préserver les côtes, tout en assurant que chaque réseau puisse être reconstruit après une catastrophe climatique.   

Il dénonce les milliards d’euros que l’Union européenne veut débloquer pour la défense, à la demande de Donald Trump, alors que les gouvernements prétendent manquer d’argent pour les services publics et la bifurcation écologique. Il détaille comment le capitalisme prospère sur l’économie de guerre et met en garde contre les conséquences de cette logique qui privilégie l’armement au détriment des besoins sociaux.  Enfin, il réaffirme l’importance de la lutte contre le racisme, qu’il considère comme une stratégie des puissants pour diviser le peuple, et condamne l’instrumentalisation de la laïcité pour alimenter la haine et la méfiance. Il conclut en appelant à poursuivre la construction d’une alternative politique, convaincu que la jeunesse détient les clés pour bâtir un avenir plus juste. 

Vous pouvez visionner ou revisionner le meeting sur YouTube en cliquant ici.

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Après les acharnements et le harcèlement de la presse bourgeoise, les poursuites contre le députés LFI Carlos Martens Bilongo classées sans suite pour absence totale d’infraction

En mai 2023, après des fuites judiciaires devenues fréquentes, le député de la France insoumise Carlos Martens Bilongo était accusé d’avoir commis des délits de blanchiment d’argent, de fraude fiscale et d’abus de biens sociaux. Pendant des jours, les plateaux de la presse bourgeoise ont disserté sur la prétendue affaire sans mener aucune enquête. Prétexte rêvé pour s’en prendre à la France insoumise et à l’un de ses députés, cette cabale a conduit à des semaines de cyberharcèlement, souvent à caractère raciste, de Carlos Martens Bilongo.

Après qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Pontoise suite à un signalement de Tracfin – la cellule anti fraude fiscale et blanchiment du ministère de l’Économie – le parquet de Pontoise a été dépaysé vers le parquet de Nanterre et le patron de Tracfin évincé dans des conditions encore non-établies.

Finalement, après presque deux ans d’une enquête approfondie sur l’intégralité des comptes personnels et professionnels de Carlos Martens Bilongo, le parquet de Nanterre a classé l’affaire sans suite en raison d’une absence totale d’infraction.

Étrangement, les heures d’antenne sur les accusations portées contre Carlos Martens Bilongo en 2023 ne se retrouvent pas aujourd’hui sur les plateaux de télévision pour dire sa parfaite innocence. 

Les circonstances de ces dénonciations et des violations du secret de l’enquête pénale font désormais l’objet d’une enquête pénale. Une nouvelle plainte pour dénonciation calomnieuse sera déposée par Carlos Martens Bilongo qui demande aujourd’hui l’ouverture d’une commission d’enquête sur l’usage de Tracfin.

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https://twitter.com/BilongoCarlos/status/1901653983980097854

 « Les chiens des bonnes sœurs ont mangé une jeune fille » – La commission d’enquête du député LFI Paul Vannier sur les violences en établissements scolaires se poursuit avec l’audition de collectifs de victimes

Le 5 mars dernier, le député de la France insoumise Paul Vannier a été élu co-rapporteur de la commission d’enquête sur les modalités du contrôle par l’État et de la prévention des violences dans les établissements scolaires.  Mobilisé depuis des semaines sur le scandale des violences physiques et sexuelles de l’établissement privé Notre-Dame de Bétharram couvertes par François Bayrou, Paul Vannier a largement participé à la mise en lumière de l’affaire.

La semaine dernière, disposant d’un pouvoir de contrôle sur place et sur pièces, Paul Vannier a donc commencé sa mission par une visite surprise au ministère de l’Éducation Nationale où il a notamment constaté qu’il n’existe pas de dossier pour les établissements où des faits de violences systémiques ont été révélés et documentés. 

Pour aller plus loin : Scandale de Bétharram : les propositions de LFI pour contrôler les établissements privés et améliorer la protection de l’enfance

Cette semaine, après que Paul Vannier s’est notamment rendu à Bétharram et a annoncé en repartir avec des documents précieux qui seront révélés au moment opportun, la première audition de la commission d’enquête s’est tenue. Elle visait à entendre les représentants de collectifs de victimes de violences physiques et sexuelles en établissements scolaires. Leurs témoignages y ont été glaçants. « Des filles fuguaient. Pendant toute la nuit, avec les chiens bergers allemands, on devait les chercher. Quelques fois, elles se rataient, elles tombaient par terre, comme à Nancy… Les chiens l’ont mangée en fait... » a révélé une victime.

Le choix de commencer par auditionner les victimes est une reconnaissance de leur courage dont la commission d’enquête est née. François Bayrou, ministre de l’Éducation nationale de 1993 à 1997, sera également auditionné par la commission d’enquête où il sera mis face à ses mensonges, à ses compromissions répétées et aux révélations en cascade de la presse d’investigation.

L’Insoumission continuera à faire le point sur l’évolution et les révélations de la commission d’enquête.

Pour visionner la vidéo : Commission d’enquête : les récits bouleversants des collectifs de victimes 

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L’adoption de deux amendements portés par la France insoumise permet un meilleur encadrement des multinationales de l’agroalimentaire

Ce 17 mars, l’Assemblée nationale a adopté la proposition de loi dite “Renforcer la stabilité économique et la compétitivité du secteur agroalimentaire”. Initialement déposée par le groupe macroniste qui s’est finalement abstenu de voter sur son propre texte, la loi a notamment été enrichie de deux amendements de la France insoumise portés par la députée Mathilde Hignet.

Ces amendements permettent respectivement de rendre progressive et d’adosser au chiffre d’affaire l’amende infligée aux multinationales de l’agroalimentaire pour non-respect de la communication de certains éléments prévus par la loi en lieu et place d’une amende non-dissuasive s’élevant jusqu’ici à 375 000 euros ; et de faire apparaître le taux de marge de ces multinationales dans les documents transmis au gouvernement.

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https://twitter.com/MathildeHignet/status/1901718919682904337

Lancement de l’Observatoire national de l’extrême droite présidé par le député LFI Thomas Portes

Ce 19 mars, le député de la France insoumise Thomas Portes a officiellement lancé le nouvel Observatoire national de l’extrême droite. Destiné à observer, cartographier et documenter les actions et exactions de l’extrême droite en France, il est également un vecteur de formation et de lutte pour combattre les idées de l’extrême droite et démonter ses arguments fallacieux destinés à fractionner la société sur des bases racistes, sexistes et de classe.

Composé de chercheurs, activistes, syndicalistes, juristes, parlementaires, journalistes spécialistes du sujet, l’Observatoire national de l’extrême droite a vocation à se déployer sur l’ensemble du territoire national. Ainsi un premier observatoire départemental de l’extrême droite a déjà été lancé à Montpellier et un deuxième est en cours de lancement à Marseille.

Ce 19 mars à Paris, la grande soirée de lancement officiel de l’Observatoire – date choisie en hommage à la date du 19 mars 2022, jour de l’assassinat par balles du rugbyman argentin Federico Martín Aramburú par deux militants néo-nazis du GUD – a vu se tenir plusieurs tables rondes en présence de nombreuses personnalités politiques, syndicales et associatives. 

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https://twitter.com/ONextdroite/status/1902634312580686233

Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète” : le nouveau livre de l’Institut La Boétie en librairie depuis ce vendredi 14 mars !

Ce vendredi 14 mars est paru aux Éditions Amsterdam le deuxième livre de l’Institut La Boétie : « Faut-il se passer du numérique pour sauver la planète ? ». Écrit par l’économiste Cédric Durand, spécialiste de renommée internationale des mutations du capitalisme contemporain, il est un ouvrage d’auto-défense indispensable pour lutter contre les empires de la Tech et défend avec pédagogie un usage progressiste et souverain du numérique.

Vivre sans Google ? Que faire face à ces mastodontes de la Big Tech soutenus par de puissants États ? Que faire face à Elon Musk ? Qu’est-ce que l’âge « techo-féodal » du capitalisme ? C’est à ces questions et à beaucoup d’autres que Cédric Durand entend répondre dans ce nouveau livre de l’Institut La Boétie.

Une conférence de présentation du livre en présence de Cédric Durand, Sylvie Laurent et Jean-Luc Mélenchon s’est également tenue ce 12 mars. Vous pouvez la visionner en cliquant ici.

Pour aller plus loin : « Un manuel anti Elon Musk ! » – L’Institut La Boétie sort son nouveau livre sur le capitalisme numérique

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https://twitter.com/i_laboetie/status/1900506884458647867

Loi d’orientation agricole : victoire pour la santé, le vivant et l’agriculture familiale après la saisine du Conseil constitutionnel par LFI 

Ce 20 février était adoptée dans l’urgence la loi d’orientation agricole. Cette loi, influencée par la FNSEA qui ouvrait grand la voie à un modèle agroindustriel et productiviste sans rien résoudre des réelles difficultés des agriculteurs a été vivement combattue par le groupe de la France insoumise à l’Assemblée nationale.

Avec à ses côtés le groupe des Écologistes, le groupe de la France insoumise à l’Assemblée nationale a donc saisi le Conseil constitutionnel pour obtenir l’annulation de mesures écocides contraires au bloc de constitutionnalité. Ayant rendu sa décision ce 20 mars, le Conseil constitutionnel a logiquement prononcé la censure de 17 des 58 articles de la loi. 

Parmi eux, des articles actant le principe de non-régression de la souveraineté alimentaire qui aurait favorisé des projets agro-industriels aux dépens de l’environnement et de la santé des français ; le principe de « non-intentionnalité » des atteintes aux espèces protégées qui donnait une forme de permis de détruire des espèces aux exploitants agricoles et forestiers en inversant la charge de la preuve au cours des procédures juridiques ; des reculs sur le « zéro artificialisation nette » qui protège notamment les agriculteurs contre l’artificialisation des sols ; le fait que les normes réglementaires en matière d’agriculture ne peuvent aller au-delà des exigences minimales des normes européennes – ce qui aurait privé le gouvernement de pouvoir agir en cas de nécessité pour la santé et le vivant – ou encore l’exonération de toute une partie de la pisciculture des règles environnementales.

La Commune de Paris fête ses 154 ans : la France insoumise a déposé une proposition de loi pour rendre férié le jour du 18 mars

Ce mardi 18 mars, la grande histoire révolutionnaire française et mondiale fêtait les 154 ans du commencement de la Commune de Paris. Soulèvement pour une République sociale face à la capitulation de l’Empire et à des forces réactionnaires désireuses d’une République bourgeoise, la Commune de Paris et l’espoir suscité par le peuple parisien mènent à la création de nouvelles Communes : à Marseille et Lyon le 23 mars, à Narbonne et Saint-Étienne le 24 mars, à Toulouse le 25 mars, au Creusot le 26 mars. Toutes seront réprimées dans le sang.

Nouveau moratoire des loyers, autorisation de récupérer les objets déposés au Mont de piété, réquisition de logements vacants pour abriter les victimes des bombardements prussiens, séparation de l’Église et de l’État et suppression du budget des cultes, proposition de l’école gratuite et laïque ouverte « aux deux sexes », limitation de la journée de travail à 10 heures dans certains ateliers, facilitation de création des coopératives ouvrières, premières mesures de l’Histoire pour l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, interdiction des arrestations arbitraires et défense d’une justice gratuite rendue par des juges élus. Toutes ces mesures ont été prises et appliquées en 72 jours. 

72 jours, c’est le temps qui sépare le 18 mars du 28 mai 1871, date de la fin de la semaine sanglante où les forces de la Réaction – appelées les Versaillais – transforment Paris en une gigantesque boucherie humaine à ciel ouvert, rougissent la Seine du sang des Communards, entassent les cadavres dans les rues.

La Commune de Paris demeure pourtant un événement largement effacé des célébrations nationales. Les 154 ans du commencement de la Commune de Paris sont l’occasion de rappeler que la France insoumise entend remédier à cet effacement qui ne cache que trop mal l’aversion des institutions bourgeoises à reconnaître un soulèvement populaire pour une République sociale. Ainsi, pour célébrer les combats et honorer les morts de la Commune, le député de la France insoumise Antoine Léaument a déposé une proposition de loi visant à faire du 18 mars un jour férié pour les travailleuses et les travailleurs. Vive la Commune !

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https://twitter.com/ALeaument/status/1901946779039379700

« L’intelligence artificielle, un nouveau champ de batailles » : ce 29 mars, venez assister au nouveau colloque de l’Institut La Boétie !

Le 20 janvier 2025, jour de l’inauguration du second mandat de Donald Trump, au premier rang derrière le nouveau président d’extrême droite des États-Unis d’Amérique, se trouvent assis côte à côte : Jeff Bezos, patron d’Amazon, Mark Zuckerberg, patron de Meta (Facebook), Sundar Pichaï, patron de Google et Elon Musk, devenu une sorte de vice-président officieux.  Quelques jours plus tard, Donald Trump annonce dans le bureau ovale le projet Stargate : 500 milliards de dollars d’investissements pour l’intelligence artificielle. Au même moment, une entreprise chinoise de la tech, DeepSeek, lance un agent conversationnel capable de résultats impressionnants pour une fraction du coût de conception et d’entraînement du célèbre ChatGPT.

Cette très courte séquence temporelle contient à elle seule beaucoup des enjeux réels ou projetés sur l’intelligence artificielle, particulièrement depuis trois ans. L’avalanche de nouvelles donne le tournis : depuis novembre 2022 et le lancement de la version grand public de ChatGPT, les grandes multinationales du numérique rivalisent d’annonces tonitruantes. 

L’intelligence artificielle partout, mais uniquement comme un outil de la classe dominante, sinon d’une oligarchie très resserrée. Elle a la seule maîtrise des discours sur l’intelligence artificielle, de sa production ou de son déploiement. Aussi, pour participer à la construction d’un discours critique sur l’intelligence artificielle qui aille au-delà des mystifications produites à son sujet, pour fonder son appropriation par le camp social populaire, l’Institut La Boétie, fondation insoumise d’élaboration intellectuelle, d’éducation populaire, de dialogue politique et culturel organise ce samedi 29 mars à Paris un colloque intitulé “L’intelligence artificielle : un nouveau champ de batailles

À cette occasion, après une introduction de Jean-Luc Mélenchon, cinq tables rondes se dérouleront où interviendront de nombreux journalistes, chercheurs et juristes spécialistes du sujet. Pour y assister, vous pouvez vous inscrire en cliquant ici.

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Par Eliot Martello-Hillmeyer

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