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Destitution de Macron : plus de 350 000 signataires pour soutenir la démarche de LFI

350 000. Le compteur pour destituer Emmanuel Macron a franchi un nouveau cap à quelques heures du discours de politique générale de Michel Barnier à l’Assemblée nationale. Le nouveau Premier ministre est déjà sur la sellette et déjà annoncé qu’il ne solliciterait pas un vote de confiance de l’Assemblée nationale. Son ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, multiplie ses sorties réactionnaires calquées sur le programme du RN.

L’objectif ? Conserver la bienveillance du parti d’extrême droite et respecter le pacte scellé entre Emmanuel Macron et Le Pen. Et déjà les fissures s’accumulent dans les propres rangs de la macronie. Nous vous en parlions hier dans nos colonnes. Le siège de Barnier est éjectable à tout moment. Il ne tient que par la bienveillance du RN qui a d’ores et déjà dit son refus de voter la censure, s’attirant les foudres des 70 % de ses électeurs la réclamant.

À l’inverse, les insoumis, vainqueurs des élections législatives avec le NFP, l’ont dit depuis des semaines : ce Gouvernement de perdants est illégitime et doit être censuré. Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon continue de batailler pour que le vote des Français soit respecté. 300 000 personnes ont défilé dans la rue le 7 septembre pour destituer Emmanuel Macron. Rebelote le 21 septembre et encore ce week-end, les insoumis organisaient des points de signature dans plus de 200 villes du pays pour continuer à faire monter la pression, avant une date décisive : l’examen de la procédure de destitution demain en commission des lois de l’Assemblée nationale. Notre article.

Mobilisation pour la destitution de Macron : un débat à venir à l’Assemblée nationale cette semaine, une mobilisation qui se poursuit dans la rue

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Dieppe
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Chenove
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Antibes
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Anglet