Le duo Macron/LePen est voué à l’échec

70% des Français ne veulent pas d’un deuxième tour en 2022 avec Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Alors que l’actuel président mise tout sur un duel avec Marine Le Pen pour avoir une chance d’être réélu, les électeurs ne se résignent pas. Ils sont une large majorité à vouloir déjouer ce plan. D’ailleurs, en 2016, un an avant l’élection de 2017, les médias annonçaient que le match était plié : Sarkozy, Le Pen, Hollande devaient s’affronter !

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Ce pronostic sondagier a été défait. Pour autant, tout est fait depuis 2017, pour que l’extrême-droite soit présente au 2ème tour en 2022.

Loi sécurité globale, laïcité utilisée contre une religion, immigration désignée comme coupable du terrorisme… L’offensive des macronistes pour placer les questions sécuritaire et identitaire au centre du débat servent une seule candidate : celle de l’extrême-droite.

La dérive est grave et aboutit désormais, à ce que des militaires, certains à la retraite, d’autres en active, signent ouvertement un appel à déclencher une “guerre civile”.

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Le candidat soutenu par La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a réagi fortement lors d’une conférence de presse le lundi 26 avril 2021 : il a rappelé la loi pénale pour protéger la République contre les tentations d’extrême-droite d’un coup de force. Il a demandé que les signataires soient sanctionnés immédiatement. Il a appelé les militaires à refuser d’être amalgamés avec ce groupuscule de militaires d’extrême-droite.

D’autres personnalités à gauche ont également protesté à l’image de Benoît Hamon ou encore Pierre Laurent. Emmanuel Macron et son gouvernement semblent quant à eux incapables d’une réaction à la hauteur de la menace.

Il faut dire qu’ils sont les complices du climat actuel. Ce sont 4 ans de manipulations politiques qui prennent en otage les citoyens.

Dès les premiers mois de son mandat, Macron s’est inspiré de l’extrême droite sur l’accueil des migrants avec la loi “Asile et immigration”, offrant une tribune au Rassemblement National qui s’en est pris au vivre-ensemble et à un “humanitarisme qui tue l’humanisme”, selon le député d’extrême-droite Gilbert Collard.

Ont suivi les répressions violentes des gilets jaunes et des mouvements sociaux, les milliers d’images de violences policières contre les manifestants et les journalistes de terrain, entravant la liberté de manifester et d’informer dans notre pays. Se faisant, le pouvoir a repris de nombreux mots de la droite la plus radicale, parlant de “hordes de casseurs” et se posant en défenseur de l’ordre face aux “black blocs ».

Enfin, en menant depuis des mois une offensive dangereuse sur les questions identitaires, discriminant les citoyens de confession musulmane, les macronistes ont fait sauter les dernières digues protégeant la République et ont construit, pièce par pièce, un boulevard à l’extrême-droite.

Face à cette dérive dangereuse, la campagne de Jean-Luc Mélenchon, et son programme l’Avenir en Commun proposent une alternative républicaine. Ils portent un drapeau universel : celui de la liberté, de l’égalité et de la fraternité.

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Tout au long du quinquennat, Mélenchon et les députés insoumis ont tenu bon.

Ils ont résisté aux délires identitaires et aux attaques les plus ignobles. A l’Assemblée nationale et au Parlement européen, les députés et eurodéputés insoumis, 23 au total, ont proposé des amendements, comme celui d’appliquer la laïcité en Alsace, et ont fait des propositions de loi pour plus de libertés individuelles par exemple.

À quelques mois de l’élection présidentielle, l’ensemble des élus insoumis reste mobilisé dans les assemblées pour faire face à la crise sanitaire due au Covid-19. Une crise qui rappelle que l’humanité est une et une seule : quelles que soient les origines et les croyances, tous les êtres humains sont soumis au même danger.

La vie de millions de citoyennes et de citoyens français peut changer.

La candidature de Jean-Luc Mélenchon ouvre un nouvel horizon, celui de la défense des droits et des libertés, de la planification écologique et du partage des richesses.

Le candidat insoumis a d’ailleurs lancé une campagne de dons, pour être en mesure de multiplier les événements de campagne avec des jauges restreintes. Objectif : assurer la capacité financière d’organiser des événements, comme les meetings numériques ou physiques, pendant l’année de mobilisation qu’il reste à mener.

Dans un an, tout peut changer. Une chose est sûre : les insoumis et leur candidat Jean-Luc Mélenchon mettront tout en œuvre pour débarrasser les Français du duo Macron / Le Pen.