Nous étions 280 CDI et près de 150 intérimaires. Lors de la liquidation, nous n’avons reçu aucune offre d’emploi en Île-de-France qui ne correspondaient pas à nos qualifications.
Stellantis veut récupérer les côtés de caisse que nous avions fabriqués avant le début de la grève. Ils ont beaucoup de mal à les produire ailleurs. Nous occupons l’usine pour maintenir un rapport de force et obtenir des reclassements pour ceux qui en ont besoin. »
Abdelhalim, gestionnaire de production chez MA France, élu CGT a répondu aux questions de l’Insoumission lors de la venue de Jean-Luc Mélenchon en soutien aux salariés en lutte depuis 5 mois contre la délocalisation de la dernière usine automobile de Seine-saint-Denis.
