L’homosexualité n’est pas une maladie, c’est un fait

Les « thérapies » de conversion, ces pratiques odieuses qui prétendent guérir l’homosexualité ou la transidentité, ne sont pas des pratiques qui appartiennent à un passé lointain et révolu, ou propres à des pays particulièrement rétrogrades, mais existent aujourd’hui en France. Pire, ce phénomène est en expansion.
Les thérapies de conversion attaquent directement l’identité de la personne. Elles détruisent la confiance en soi. Elles sabotent la vie affective et sexuelle, particulièrement au moment où elle se construit.
Il faut donc leur mettre un point d’arrêt. Ici, et maintenant.
Non, l’orientation sexuelle comme l’identité de genre n’est pas une maladie, pas un choix, pas une mode. C’est un fait.
230 années après l’abolition du crime de sodomie par la grande Révolution, il est enfin temps d’interdire les thérapies de conversion.