Les guadeloupéennes et guadeloupéens n’en peuvent plus. Ils sont lassés de souffrir de ces manœuvres. Ils ne croient plus pouvoir, un jour, avoir accès à ce droit fondamental qu’est l’eau. Ce droit humain fondamental, je dis, consacré par les Nations-Unies il y a 11 ans de cela, à l’initiative de la Bolivie, et bafoué dans notre pays.
Mon intervention sur la situation indigne de notre République en Guadeloupe.