À l’Assemblée nationale, cet après-midi, j’interrogeais le Premier Ministre sur la dramatique augmentation de la pauvreté en France. Il n’a pas daigné nous répondre, ni aux millions de Français que sa politique met dans la misère. Mépris pour les 9,3 millions de pauvres dans notre pays. Mépris pour la représentation nationale. Mais, comme je le lui ai dit, « nous ne vous laisserons pas tranquilles ».